Arang and the Magistrate (아랑사또전)
Drama Coréen
Période de diffusion : 15 août 2012 - 18 octobre 2012
Période de diffusion : 15 août 2012 - 18 octobre 2012
Episodes : 20 (70 min)
Genre : Romance, comédie, fantastique, historique, thriller, action, mélodrame
Ratings : 14,3 %
Casting :
Shin Min Ah as Arang
Lee Jun Ki as Kim Eun Oh
Yoon Woo Jin as Choi Joo Wal
Kwon Oh Jong as Dol Swe
Hwang Bo Ra as Bang Wool
Han Jung Soo as Moo Young
and
Yo Seung Ho as Jade Empereur
Visionner directement en VOSTA ici : *** (complet)
~ L'histoire ~
Lorsque Kim Eun Oh se rend dans une nouvelle petite bourgade, il est loin de se douter de ce qui l'attend sur le chemin et des conséquences que vont entraîner sa rencontre hasardeuse avec une fantôme amnésique, Arang, bien décidée à comprendre comment elle est morte et à faire de lui le nouveau Magistrat de la ville. Mais mystère et mythologie s'accumulent, hantent les nuits et dessinent les traits d'histoires bien sombres dont il va devoir élucider les secrets...
~ Mon avis ~
7,5/10
Arang and the Magistrate est un drama qui m'a laissée mitigée. Il y a des aspects que j'ai trouvés fantastiques, à couper le souffle, et j'écoute encore l'instrumentale tellement elle est magnifique. D'un autre côté, je n'ai jamais réussi à regarder plus de deux épisodes d'affilés, jamais ressenti une addiction folle au drama, et maintenant que je l'ai terminé, il ne m'en restera pas grand chose, en dehors de belles images, une jolie fin et d'un Lee Jun Ki aussi classe que d'habitude.
Pourtant, objectivement, l'intrigue est extrêmement bien ficelée, maîtrisée. Niveau suspens et révélations, on a une orchestration véritablement magistrale. Je me souviens qu'à chaque fois, j'étais abasourdie d'être toujours plus surprise par les nouvelles révélations... L'histoire, entre thriller, fantastique, romance, comédie... il y a avait de beaux moments... et je n'ai concrètement pas grand chose à reprocher à ce drama en fait, sinon peut-être qu'il était techniquement trop bien ficelé, et que l'émotion, du coup, n'était pas à la hauteur ? Pourtant, il y en avait, surtout pendant les 10-13 premiers épisodes. Ensuite, l'intrigue ralenti considérablement, s'assombrit et perd une part de la légèreté qu'il y avait encore au début. A partir de l'épisode 15, le mystère est moins présent, et la romance piétine un peu, ce qui draîne l'intérêt, et aussi l'émotion, qui s'enlise... Le drama se rattrape en revanche sur les derniers épisodes, en revenant avec un rythme un peu plus soutenu, et avec une fin vraiment jolie.
Visuellement, on a aussi du beau. Personnellement, j'avais de loin préféré la simplicité d'Arang à la recherche décor/costume de Faith. Chacun des dramas avait son côté kitsch, mais j'ai préféré celui d'Arang, qui n'en fait pas des tonnes et touche beaucoup plus juste à mon sens. Tout l'univers fantastique était joliment déroulé, détails après détails, on y pénétrait au fur et à mesure, sans pour autant que les règles soit absurdes, même si franchement, il y a bien deux trois trucs que j'aurais soufflé à l'oreille des scénaristes. L'univers des fantômes, les règles chamanes, la résurgence des vieux mythes : c'était une magnifique entrée dans la magie coréenne. En fait, ce que j'ai eu du mal à comprendre, c'était le rôle de l'empereur de Jade, et celui du roi des Enfers... pas que je me plaigne de leur présence, loin de là ! (Yoo Seung Ho *o* je bave) mais concrètement, à part donner sa chance à Arang, ils ne servent vraiment à rien ^^ Enfin, de nouveau, pas que je me plaigne. A part deux trois coupes de cheveux qui m'ont donné envie d'assassiner les coiffeurs de ce pauvre empereur de Jade, je dois dire que l'effet était plutôt réussi : ces scènes, en plus d'être hilarantes et remarquablement jouées (quel répondant entre les acteurs !), étaient juste un plaisir visuel absolu ! Même en personnage ultra-secondaire, Yoo Seung Ho gère. Impossible de lutter ^^
Vous l'avez compris, niveau casting, ce drama a été chercher là où il fallait.
D'abord, Lee Jun Ki, à son grand retour de l'armée, bien qu'un peu amaigri - sur son visage, c'était quand même flagrant - était aussi génial que d'habitude. Il lui faut deux trois épisodes pour rentrer dans le personnage, mais dès qu'il l'a eu, je l'ai suivi jusqu'au bout du drama sans flancher. Un personnage sensible, un personnage justicier comme je les aime, mais avec juste la bonne dose d'égoïsme pour le rendre crédible, un personnage qui va droit au but... un personnage comme j'aimerais en voir plus souvent. Kim Eun Oh se torturait l'esprit un peu pour rien, parfois, mais bon, un homme qui peut voir les fantômes a des problèmes à régler, je suppose.
Shin Min Ah, dans le rôle principal d'Arang, m'a fait un peu peur au début. J'ai cru qu'elle allait nous resservir son personnage de Mi Oh (My Girlfriend is a nine-tailed fox) mais très vite, elle offre un personnage beaucoup plus sensible, beaucoup plus blessé, tout en étant beaucoup plus lumineux et réaliste (bien qu'elle soit un fantôme) que sa version d'une Gumiho un peu déjantée dans le drama des soeurs Huong.
Si je compare les deux prestations, c'est que vraiment, les deux trois premiers épisodes, Lee Jun Ki comme Shin Min Ah m'ont rappelé leurs anciens rôle (Lee Jun Ki était à la frontière entre le journaliste révolté mais incompris qu'il était dans Hero (MBC) et son rôle d'Iljimae, le justicier masqué la nuit qui le jour se faisait passer pour le pire des couard). Mais ensuite, ils ont vraiment donné une individualité à leurs personnages, et de ce côté là, c'était vraiment réussi.
Bref, pour en revenir à Arang, les combats de cette héroïne m'ont vraiment touchée, cette quête personnelle, qu'elle ne peut faire seule, qui la rend si dépendante et qu'elle tient pourtant à mener à bien, est remarquablement exploitée dans le drama. C'était vraiment, aussi bien narrativement que psychologiquement l'élément le plus travaillé et intéressant de toute la trame du drama. Bien que l'histoire de Lee Jun Ki ait aussi été passionnante, elle avait un côté un peu plus prévisible qui la rendait légèrement moins intéressante.
Les deux acteurs ne manquaient pas d'alchimie, c'est pour ça que je serais bien en peine de dire pourquoi la romance ne m'a pas donné des frissons comme peut le faire celles de Gu Family Book. Je pense que plus que les acteurs, les moments clés de leur histoire n'étaient pas assez forts, et n'avaient pas cette étincelle qu'on attend des K-Dramas et dans laquelle ils excellent. Elle n'est pas mauvaise pour autant, loin de là, il n'y a juste pas de coeur qui s'emballe, même si j'ai vraiment adoré l'évolution psychologique des personnages, la façon dont leurs sentiments évoluent, la manière dont se font les aveux... Une très jolie histoire d'amour, à défaut d'une histoire addictive.
Un autre rôle marquant : celui de Choi Joo Wal, interprété par Yun Woo Jin (Ojakgyo Brothers). Il est sûrement le personnage le plus complexe et le plus intéressant du drama. Je ne peux pas trop en dire sans spoiler, et s'il y a bien un drama qu'il ne faut pas spoiler, c'est celui-ci, donc je m'arrête là. Ceci dit, une chose est sûre, il m'a surprise jusqu'au bout. Il aurait sûrement pu être mieux traité, mais ils s'en sont vraiment bien sortis, Yun Woo Jin l'interprète à merveille avec ce regard torturé et cette noirceur froide en permanence sur le visage... et rien que pour son final... complètement inattendu pour ma part, Joo Wal m'a convaincue.
Han Jung Soo (Poseidon), dans le rôle d'un des Faucheurs était magistral. Kwon Oh Jung dans le rôle de Dol Swe, et Hwang Bo Ra dans le rôle de la chamane Bang Wool étaient tellement adorable et avaient une tellement jolie alchimie - et puis qu'est-ce qu'ils ont pu me faire rire - que mon coeur leur a été tout entier ^^ Individuellement, par contre, Dol Swe criait trop à mon goût, Bang Wool en revanche était parfaite : un de mes personnages préférés du drama. Sensible, drôle, naïve, gentille, profondément humaine.
Je pourrais parler d'autres personnages, mais que dire, sinon que les méchants sont méchants comme dans des K-Dramas - c'est à dire à l'excès - et les gentils naïfs comme dans des K-Dramas ? ^^
Comme je le disais plus haut, il m'est plutôt resté de l'OST les instrumentales de BGM que les chansons. A vrai dire, je n'ai pas fait attention aux chansons (mais il y a du K.Will pour ceux que cela intéresse), par contre, je vous met les liens, je les trouve juste magiques : cliquez sur Yoo Seung Ho et sur la chèvre que je serais dans ma prochaine vie =D
En bref, un drama qui m'a plu (beaucoup, c'est un voyage magnifique, une prestation pour les acteurs principaux, une incursion dans le fantastique que je suis pas prête d'oublier), sans me plaire (souvent cet sensation d'ennui qui revenait, ou d'indigeste, trop de mystères tue peut-être le mystère ? Je n'ai toujours pas compris pourquoi je ne pouvais pas voir plus de deux épisodes à la suite... 16 épisodes auraient peut-être suffi), et qui a laissé derrière lui une marque forte (une très belle histoire, une fin pleine de panache, et un univers qui laisse sa patte) qui pourtant ne marque pas tant que ça (en dehors des grandes lignes, beaucoup de souvenirs m'ont filé entre les doigts). Vous l'avez compris, Arang and the Magistrate est difficile à placer dans une case, parce qu'il touche à tous les genres, toutes les émotions, et renouvelle beaucoup de clichés. Une chose est sûre, je ne regrette pas du tout de l'avoir vu, et écrire cet article m'a presque donné envie de le revoir, ce qui est un point très positif. Une belle aventure, beaucoup de mystère, et du bon mystère, avec des surprises comme on en a rarement, et puis comme je le disais dans mon article bilan 2012... c'est quand même pas tous les jours qu'un drama donne envie de se réincarner en chèvre !
Pourtant, objectivement, l'intrigue est extrêmement bien ficelée, maîtrisée. Niveau suspens et révélations, on a une orchestration véritablement magistrale. Je me souviens qu'à chaque fois, j'étais abasourdie d'être toujours plus surprise par les nouvelles révélations... L'histoire, entre thriller, fantastique, romance, comédie... il y a avait de beaux moments... et je n'ai concrètement pas grand chose à reprocher à ce drama en fait, sinon peut-être qu'il était techniquement trop bien ficelé, et que l'émotion, du coup, n'était pas à la hauteur ? Pourtant, il y en avait, surtout pendant les 10-13 premiers épisodes. Ensuite, l'intrigue ralenti considérablement, s'assombrit et perd une part de la légèreté qu'il y avait encore au début. A partir de l'épisode 15, le mystère est moins présent, et la romance piétine un peu, ce qui draîne l'intérêt, et aussi l'émotion, qui s'enlise... Le drama se rattrape en revanche sur les derniers épisodes, en revenant avec un rythme un peu plus soutenu, et avec une fin vraiment jolie.
Visuellement, on a aussi du beau. Personnellement, j'avais de loin préféré la simplicité d'Arang à la recherche décor/costume de Faith. Chacun des dramas avait son côté kitsch, mais j'ai préféré celui d'Arang, qui n'en fait pas des tonnes et touche beaucoup plus juste à mon sens. Tout l'univers fantastique était joliment déroulé, détails après détails, on y pénétrait au fur et à mesure, sans pour autant que les règles soit absurdes, même si franchement, il y a bien deux trois trucs que j'aurais soufflé à l'oreille des scénaristes. L'univers des fantômes, les règles chamanes, la résurgence des vieux mythes : c'était une magnifique entrée dans la magie coréenne. En fait, ce que j'ai eu du mal à comprendre, c'était le rôle de l'empereur de Jade, et celui du roi des Enfers... pas que je me plaigne de leur présence, loin de là ! (Yoo Seung Ho *o* je bave) mais concrètement, à part donner sa chance à Arang, ils ne servent vraiment à rien ^^ Enfin, de nouveau, pas que je me plaigne. A part deux trois coupes de cheveux qui m'ont donné envie d'assassiner les coiffeurs de ce pauvre empereur de Jade, je dois dire que l'effet était plutôt réussi : ces scènes, en plus d'être hilarantes et remarquablement jouées (quel répondant entre les acteurs !), étaient juste un plaisir visuel absolu ! Même en personnage ultra-secondaire, Yoo Seung Ho gère. Impossible de lutter ^^
Vous l'avez compris, niveau casting, ce drama a été chercher là où il fallait.
D'abord, Lee Jun Ki, à son grand retour de l'armée, bien qu'un peu amaigri - sur son visage, c'était quand même flagrant - était aussi génial que d'habitude. Il lui faut deux trois épisodes pour rentrer dans le personnage, mais dès qu'il l'a eu, je l'ai suivi jusqu'au bout du drama sans flancher. Un personnage sensible, un personnage justicier comme je les aime, mais avec juste la bonne dose d'égoïsme pour le rendre crédible, un personnage qui va droit au but... un personnage comme j'aimerais en voir plus souvent. Kim Eun Oh se torturait l'esprit un peu pour rien, parfois, mais bon, un homme qui peut voir les fantômes a des problèmes à régler, je suppose. Shin Min Ah, dans le rôle principal d'Arang, m'a fait un peu peur au début. J'ai cru qu'elle allait nous resservir son personnage de Mi Oh (My Girlfriend is a nine-tailed fox) mais très vite, elle offre un personnage beaucoup plus sensible, beaucoup plus blessé, tout en étant beaucoup plus lumineux et réaliste (bien qu'elle soit un fantôme) que sa version d'une Gumiho un peu déjantée dans le drama des soeurs Huong. Si je compare les deux prestations, c'est que vraiment, les deux trois premiers épisodes, Lee Jun Ki comme Shin Min Ah m'ont rappelé leurs anciens rôle (Lee Jun Ki était à la frontière entre le journaliste révolté mais incompris qu'il était dans Hero (MBC) et son rôle d'Iljimae, le justicier masqué la nuit qui le jour se faisait passer pour le pire des couard). Mais ensuite, ils ont vraiment donné une individualité à leurs personnages, et de ce côté là, c'était vraiment réussi.
Bref, pour en revenir à Arang, les combats de cette héroïne m'ont vraiment touchée, cette quête personnelle, qu'elle ne peut faire seule, qui la rend si dépendante et qu'elle tient pourtant à mener à bien, est remarquablement exploitée dans le drama. C'était vraiment, aussi bien narrativement que psychologiquement l'élément le plus travaillé et intéressant de toute la trame du drama. Bien que l'histoire de Lee Jun Ki ait aussi été passionnante, elle avait un côté un peu plus prévisible qui la rendait légèrement moins intéressante.
Les deux acteurs ne manquaient pas d'alchimie, c'est pour ça que je serais bien en peine de dire pourquoi la romance ne m'a pas donné des frissons comme peut le faire celles de Gu Family Book. Je pense que plus que les acteurs, les moments clés de leur histoire n'étaient pas assez forts, et n'avaient pas cette étincelle qu'on attend des K-Dramas et dans laquelle ils excellent. Elle n'est pas mauvaise pour autant, loin de là, il n'y a juste pas de coeur qui s'emballe, même si j'ai vraiment adoré l'évolution psychologique des personnages, la façon dont leurs sentiments évoluent, la manière dont se font les aveux... Une très jolie histoire d'amour, à défaut d'une histoire addictive.
Un autre rôle marquant : celui de Choi Joo Wal, interprété par Yun Woo Jin (Ojakgyo Brothers). Il est sûrement le personnage le plus complexe et le plus intéressant du drama. Je ne peux pas trop en dire sans spoiler, et s'il y a bien un drama qu'il ne faut pas spoiler, c'est celui-ci, donc je m'arrête là. Ceci dit, une chose est sûre, il m'a surprise jusqu'au bout. Il aurait sûrement pu être mieux traité, mais ils s'en sont vraiment bien sortis, Yun Woo Jin l'interprète à merveille avec ce regard torturé et cette noirceur froide en permanence sur le visage... et rien que pour son final... complètement inattendu pour ma part, Joo Wal m'a convaincue. Han Jung Soo (Poseidon), dans le rôle d'un des Faucheurs était magistral. Kwon Oh Jung dans le rôle de Dol Swe, et Hwang Bo Ra dans le rôle de la chamane Bang Wool étaient tellement adorable et avaient une tellement jolie alchimie - et puis qu'est-ce qu'ils ont pu me faire rire - que mon coeur leur a été tout entier ^^ Individuellement, par contre, Dol Swe criait trop à mon goût, Bang Wool en revanche était parfaite : un de mes personnages préférés du drama. Sensible, drôle, naïve, gentille, profondément humaine.
Je pourrais parler d'autres personnages, mais que dire, sinon que les méchants sont méchants comme dans des K-Dramas - c'est à dire à l'excès - et les gentils naïfs comme dans des K-Dramas ? ^^
Comme je le disais plus haut, il m'est plutôt resté de l'OST les instrumentales de BGM que les chansons. A vrai dire, je n'ai pas fait attention aux chansons (mais il y a du K.Will pour ceux que cela intéresse), par contre, je vous met les liens, je les trouve juste magiques : cliquez sur Yoo Seung Ho et sur la chèvre que je serais dans ma prochaine vie =D
En bref, un drama qui m'a plu (beaucoup, c'est un voyage magnifique, une prestation pour les acteurs principaux, une incursion dans le fantastique que je suis pas prête d'oublier), sans me plaire (souvent cet sensation d'ennui qui revenait, ou d'indigeste, trop de mystères tue peut-être le mystère ? Je n'ai toujours pas compris pourquoi je ne pouvais pas voir plus de deux épisodes à la suite... 16 épisodes auraient peut-être suffi), et qui a laissé derrière lui une marque forte (une très belle histoire, une fin pleine de panache, et un univers qui laisse sa patte) qui pourtant ne marque pas tant que ça (en dehors des grandes lignes, beaucoup de souvenirs m'ont filé entre les doigts). Vous l'avez compris, Arang and the Magistrate est difficile à placer dans une case, parce qu'il touche à tous les genres, toutes les émotions, et renouvelle beaucoup de clichés. Une chose est sûre, je ne regrette pas du tout de l'avoir vu, et écrire cet article m'a presque donné envie de le revoir, ce qui est un point très positif. Une belle aventure, beaucoup de mystère, et du bon mystère, avec des surprises comme on en a rarement, et puis comme je le disais dans mon article bilan 2012... c'est quand même pas tous les jours qu'un drama donne envie de se réincarner en chèvre !
Yoo Seung Ho au milieu des fleurs
Yoo Seung Ho qui sourit *ç*
Yoo Seung Ho qui joue au baduk
Yoo Seung Ho avec une coupe moche... mais qui a quand même la classe
Yoo Seung Ho qui parle à sa chèvre *o*~ Et vous, qu'est-ce que vous en avez pensé ? ~
