My Sunshine / Silent Separation 何以笙箫默
Période de diffusion : 10 janvier 2015 - 25 janvier 2015
Episodes : 32 (40 min)
Genre : Romance
Casting :
Wallace Chung >> He Yichen
Tiffany Tang >> Zhao Mosheng
Jian Renzi >> He Yimei
Tan Kai >> Ying Hui
Mi Lu >> Xiao Xiao
Yang Le >> Lu Yuanfeng
~ L'histoire ~
Tiré du roman du même nom écrit par Gu Man (qui est également l'auteur du roman Boss & Me dont est tiré le drama).
Lors de leurs années universitaires, Zhao Mosheng (Tiffany Tang) et He Yichen (Wallace Chung) vivent une histoire d'amour passionnée. Cependant, les circonstances poussent Mosheng à quitter le pays du jour au lendemain.
Sept ans plus tard, lorsque Mosheng revient à Shanghai, elle rencontre à nouveau Yichen. Pourront-ils être de nouveau réunis malgré toute la rancoeur et les années perdues ?
~ Mon avis ~
Période de diffusion : 10 janvier 2015 - 25 janvier 2015
Episodes : 32 (40 min)
Genre : Romance
Casting :
Wallace Chung >> He Yichen
Tiffany Tang >> Zhao Mosheng
Jian Renzi >> He Yimei
Tan Kai >> Ying Hui
Mi Lu >> Xiao Xiao
Yang Le >> Lu Yuanfeng
~ L'histoire ~
Tiré du roman du même nom écrit par Gu Man (qui est également l'auteur du roman Boss & Me dont est tiré le drama).
Lors de leurs années universitaires, Zhao Mosheng (Tiffany Tang) et He Yichen (Wallace Chung) vivent une histoire d'amour passionnée. Cependant, les circonstances poussent Mosheng à quitter le pays du jour au lendemain.
Sept ans plus tard, lorsque Mosheng revient à Shanghai, elle rencontre à nouveau Yichen. Pourront-ils être de nouveau réunis malgré toute la rancoeur et les années perdues ?
~ Mon avis ~
7,5/10 >> Je n'aurais jamais pensé dire ça en commençant ce drama mais si, les 32 épisodes sont passés trop vite ^^ J'en aurais demandé volontiers plus (au point de m'être enfilée les épisodes 33 à 36, qui ne sont qu'une version condensée du drama via des flashbacks).
Cela faisait vraiment longtemps qu'une romance ne m'avait pas autant surprise par la brillante absence de faux pas et de détours inutiles. J'ai commencé My Sunshine un peu au hasard, parce que les échos étaient bons et parce que j'avais envie d'une belle romance, finalement le drama m'a donné exactement la romance que je voulais et j'en ressors avec un énorme vide dans le ventre. Yichen, reviens moi ! ^^
Le titre "My Sunshine" donne l'impression d'une comédie romantique estivale mais c'est complètement trompeur. Sans verser dans le mélodrame, My Sunshine se rapproche plutôt d'une histoire d'amour torturée (absolument rien à voir avec une rom-com) mais tout en gardant un côté très romantique et romancé (je préfère d'ailleurs le titre alternatif Silent Separation qui me paraît plus approprié et reflète mieux l'ambiance du drama).
Les moins :
- Une utilisation excessive (mais alors vraiment excessive) de flashbacks sur des scènes qui ont eu lieu 10 minutes plus tôt. Il faudrait leur dire que non, les spectateurs ne sont pas amnésiques.
- Tout comme dans Boss & Me, les boissons multicolores RIO deviendront vos meilleures amies. Sans parler de tous les autres placements de produits particulièrement agaçants, de l'application mobile en passant par la marque de bijoux...
- Une exploitation maladroite des personnages secondaires : s'ils se révèlent tous être relativement sympathiques, ils restent toujours en surface alors qu'ils pourraient être bien plus. He Yimei (Jian Renzi) est un excellent exemple : une femme admirable qui avait des choses intéressantes à offrir, mais qui laisse le spectateur indifférent parce qu'elle est totalement transparente. Seuls les deux derniers épisodes lui rendent justice, je commençais enfin à l'apprécier à sa juste valeur, mais à deux épisodes de la fin c'est quand même dommage...
Les plus :
Les années université : un seul mot --> Ouahhhhhh. C'est à partir du retour dans le passé que mon coup de coeur a définitivement eu lieu. Si j'ai passé les deux premiers épisodes à me demander ce que les gens pouvaient bien trouver à ce drama, la réponse est arrivée à l'épisode 3 : les épisodes 3 à 5 sont de véritables bijoux, je pourrais me passer ces épisodes en boucle et même les flashbacks excessifs ne me dérangent pas lorsqu'il s'agit des années université. Je suis tombée complètement sous le charme de la période "université" : le développement de la romance est un régal et les jeunes acteurs sont juste a-do-ra-bles. Tellement adorables que de devoir repasser aux acteurs adultes m'a fait un choc (mais on s'y fait rapidement). J'adore la spontanéité avec laquelle l'héroïne court après le héros, j'adore la fluidité de leur romance, la façon toute naturelle et complètement irrésistible dont le héros finit par tomber amoureux. Ces quelques épisodes de retour dans le passé m'ont rendue totalement hystérique et c'est vraiment à partir de là que mon addiction pour le drama s'est développée.
Wallace Chung : si je suis tombée sous le charme de la période de "jeunesse", ce n'est pas du tout au détriment des acteurs adultes. Et le héros Yichen porte tout le drama sur ses épaules. Le drama a plusieurs points forts mais vraiment, son héros est une perfection sans nom. J'ai passé tout le drama à me demander pourquoi je ne découvre Wallace Chung que maintenant. Ce charisme incroyable, cette capacité à parler avec les yeux et à nous faire ressentir mille choses à la fois en un seul regard ! Je suis complètement amoureuse de Yichen. J'adore le fait qu'il soit un personnage hyper cliché (brillant avocat qui respire la froideur, l'assurance, l'indifférence) mais que cette image se brise complètement lorsque Mosheng est dans les parages. Comme le dit si bien son associé, Mosheng fait ressortir toute la non-froideur, non-assurance et non-indifférence qu'il y a en lui. Et Wallace Chung livre une interprétation vraiment excellente.
La romance : le couple principal est au coeur du drama et c'est d'ailleurs l'unique réel intérêt. Non pas que les autres personnages soit inintéressant mais ils n'apportent rien d'innovant ni de particulièrement mémorable, tandis que la romance... Ahhh la romance ! Trop belle. Splendide par ses débuts (les années université !!!), intense par les 7 ans de séparation et par leurs retrouvailles et tous les battements de coeur qu'elle m'a donnés au fil des épisodes. Et comme je l'ai déjà dit : pas de faux pas. Même lors des "pires" confrontations des deux protagonistes, la tournure des évènements a toujours fini par me laisser sans voix parce qu'on va tellement droit au but de façon honnête que c'était juste ultra satisfaisant. Et puis en fait, j'étais juste addict : je n'ai pas vu les épisodes passer et à chaque avancée entre le couple principal, à chaque démonstration d'attention de la part de Yichen, j'étais comme une folle ^^
Les personnages
J'ai mis du temps à apprécier l'héroïne Mosheng : c'est un personnage que j'ai appris à aimer au fil de l'histoire mais j'ai eu beaucoup de mal pendant une grosse partie du drama. On a l'impression qu'elle porte le poids du monde entier sur ses épaules, elle manque cruellement de réactivité et j'avais constamment envie de la secouer. Lorsqu'on voit les années université, j'avais du mal à croire que sa version "jeune" puisse être aussi dynamique par rapport à sa retenue actuelle, et à vrai dire elle m'a faite un peu peur, j'ai cru pendant plusieurs épisodes qu'elle serait une héroïne "victime" incapable de s'affirmer et d'avoir du répondant. Heureusement, le drama nous prouve le contraire : au fil des épisodes et des flashbacks, on commence enfin à comprendre pourquoi elle a tant changé en 7 ans, toutes les choses qu'elle a dû affronter pour en être là. C'est à partir de ce moment là que j'ai vraiment commencé à l'apprécier. Et sa dynamique revient au fil du drama, c'était un plaisir de la voir s'ouvrir à nouveau.
Les autres personnages étaient sympathiques, bien que maladroitement exploités. Les personnages féminins du drama impressionnent par leur force de volonté et leur bon sens (Xiao Xiao est juste la classe incarnée !) même si j'aurais aimé que les ficelles soient moins grosses lorsqu'il s'agissait d'exploiter leurs histoires.
Je suis moins emballée du côté masculin : le rival Ying Hui est complètement insipide. Un personnage dénué d'intérêt et de charisme dont la présence ne sert qu'à faire avancer la romance principale (mais on ne va pas s'en plaindre). Le drama tente de façon extrêmement maladroite de lui donner un peu de profondeur en intégrant à son histoire "son ex" tout aussi insipide qui tombe comme un cheveu sur la soupe et qui n'a d'ailleurs pas le moindre intérêt dans le drama.
J'ai adoré le photographe Lu Yuanfeng, un homme adorable qui perd malheureusement trop de temps à être ennuyeusement amoureux de Yimei (comme je l'ai déjà dit, une femme au potentiel formidable mais formidablement inexploité). Ses interactions avec Xiao Xiao étaient bien plus intéressantes -leurs dialogues et prises de bec donnent la légèreté et la bonne humeur qui manque au drama.
En somme, My Sunshine, c'est une vraie romance à l'eau de rose, torturée, mélancolique, mais malgré tout pleine de légèreté qui vient couvrir les zones plus fragiles du drama. Un drama que j'ai trouvé très addictif qui, malgré ses points faibles et ses quelques longueurs, m'a offert exactement ce que j'attendais d'une romance et me laisse sur une excellente impression. Et surtout un formidable nouvel idéal masculin : Wallace Chung ! Une jolie découverte en somme.
Le titre "My Sunshine" donne l'impression d'une comédie romantique estivale mais c'est complètement trompeur. Sans verser dans le mélodrame, My Sunshine se rapproche plutôt d'une histoire d'amour torturée (absolument rien à voir avec une rom-com) mais tout en gardant un côté très romantique et romancé (je préfère d'ailleurs le titre alternatif Silent Separation qui me paraît plus approprié et reflète mieux l'ambiance du drama).
Les moins :
- Une utilisation excessive (mais alors vraiment excessive) de flashbacks sur des scènes qui ont eu lieu 10 minutes plus tôt. Il faudrait leur dire que non, les spectateurs ne sont pas amnésiques.
- Tout comme dans Boss & Me, les boissons multicolores RIO deviendront vos meilleures amies. Sans parler de tous les autres placements de produits particulièrement agaçants, de l'application mobile en passant par la marque de bijoux...
- Une exploitation maladroite des personnages secondaires : s'ils se révèlent tous être relativement sympathiques, ils restent toujours en surface alors qu'ils pourraient être bien plus. He Yimei (Jian Renzi) est un excellent exemple : une femme admirable qui avait des choses intéressantes à offrir, mais qui laisse le spectateur indifférent parce qu'elle est totalement transparente. Seuls les deux derniers épisodes lui rendent justice, je commençais enfin à l'apprécier à sa juste valeur, mais à deux épisodes de la fin c'est quand même dommage...Les plus :
Les années université : un seul mot --> Ouahhhhhh. C'est à partir du retour dans le passé que mon coup de coeur a définitivement eu lieu. Si j'ai passé les deux premiers épisodes à me demander ce que les gens pouvaient bien trouver à ce drama, la réponse est arrivée à l'épisode 3 : les épisodes 3 à 5 sont de véritables bijoux, je pourrais me passer ces épisodes en boucle et même les flashbacks excessifs ne me dérangent pas lorsqu'il s'agit des années université. Je suis tombée complètement sous le charme de la période "université" : le développement de la romance est un régal et les jeunes acteurs sont juste a-do-ra-bles. Tellement adorables que de devoir repasser aux acteurs adultes m'a fait un choc (mais on s'y fait rapidement). J'adore la spontanéité avec laquelle l'héroïne court après le héros, j'adore la fluidité de leur romance, la façon toute naturelle et complètement irrésistible dont le héros finit par tomber amoureux. Ces quelques épisodes de retour dans le passé m'ont rendue totalement hystérique et c'est vraiment à partir de là que mon addiction pour le drama s'est développée.
Wallace Chung : si je suis tombée sous le charme de la période de "jeunesse", ce n'est pas du tout au détriment des acteurs adultes. Et le héros Yichen porte tout le drama sur ses épaules. Le drama a plusieurs points forts mais vraiment, son héros est une perfection sans nom. J'ai passé tout le drama à me demander pourquoi je ne découvre Wallace Chung que maintenant. Ce charisme incroyable, cette capacité à parler avec les yeux et à nous faire ressentir mille choses à la fois en un seul regard ! Je suis complètement amoureuse de Yichen. J'adore le fait qu'il soit un personnage hyper cliché (brillant avocat qui respire la froideur, l'assurance, l'indifférence) mais que cette image se brise complètement lorsque Mosheng est dans les parages. Comme le dit si bien son associé, Mosheng fait ressortir toute la non-froideur, non-assurance et non-indifférence qu'il y a en lui. Et Wallace Chung livre une interprétation vraiment excellente.La romance : le couple principal est au coeur du drama et c'est d'ailleurs l'unique réel intérêt. Non pas que les autres personnages soit inintéressant mais ils n'apportent rien d'innovant ni de particulièrement mémorable, tandis que la romance... Ahhh la romance ! Trop belle. Splendide par ses débuts (les années université !!!), intense par les 7 ans de séparation et par leurs retrouvailles et tous les battements de coeur qu'elle m'a donnés au fil des épisodes. Et comme je l'ai déjà dit : pas de faux pas. Même lors des "pires" confrontations des deux protagonistes, la tournure des évènements a toujours fini par me laisser sans voix parce qu'on va tellement droit au but de façon honnête que c'était juste ultra satisfaisant. Et puis en fait, j'étais juste addict : je n'ai pas vu les épisodes passer et à chaque avancée entre le couple principal, à chaque démonstration d'attention de la part de Yichen, j'étais comme une folle ^^
Les personnages
J'ai mis du temps à apprécier l'héroïne Mosheng : c'est un personnage que j'ai appris à aimer au fil de l'histoire mais j'ai eu beaucoup de mal pendant une grosse partie du drama. On a l'impression qu'elle porte le poids du monde entier sur ses épaules, elle manque cruellement de réactivité et j'avais constamment envie de la secouer. Lorsqu'on voit les années université, j'avais du mal à croire que sa version "jeune" puisse être aussi dynamique par rapport à sa retenue actuelle, et à vrai dire elle m'a faite un peu peur, j'ai cru pendant plusieurs épisodes qu'elle serait une héroïne "victime" incapable de s'affirmer et d'avoir du répondant. Heureusement, le drama nous prouve le contraire : au fil des épisodes et des flashbacks, on commence enfin à comprendre pourquoi elle a tant changé en 7 ans, toutes les choses qu'elle a dû affronter pour en être là. C'est à partir de ce moment là que j'ai vraiment commencé à l'apprécier. Et sa dynamique revient au fil du drama, c'était un plaisir de la voir s'ouvrir à nouveau.Les autres personnages étaient sympathiques, bien que maladroitement exploités. Les personnages féminins du drama impressionnent par leur force de volonté et leur bon sens (Xiao Xiao est juste la classe incarnée !) même si j'aurais aimé que les ficelles soient moins grosses lorsqu'il s'agissait d'exploiter leurs histoires.
Je suis moins emballée du côté masculin : le rival Ying Hui est complètement insipide. Un personnage dénué d'intérêt et de charisme dont la présence ne sert qu'à faire avancer la romance principale (mais on ne va pas s'en plaindre). Le drama tente de façon extrêmement maladroite de lui donner un peu de profondeur en intégrant à son histoire "son ex" tout aussi insipide qui tombe comme un cheveu sur la soupe et qui n'a d'ailleurs pas le moindre intérêt dans le drama.
J'ai adoré le photographe Lu Yuanfeng, un homme adorable qui perd malheureusement trop de temps à être ennuyeusement amoureux de Yimei (comme je l'ai déjà dit, une femme au potentiel formidable mais formidablement inexploité). Ses interactions avec Xiao Xiao étaient bien plus intéressantes -leurs dialogues et prises de bec donnent la légèreté et la bonne humeur qui manque au drama.
En somme, My Sunshine, c'est une vraie romance à l'eau de rose, torturée, mélancolique, mais malgré tout pleine de légèreté qui vient couvrir les zones plus fragiles du drama. Un drama que j'ai trouvé très addictif qui, malgré ses points faibles et ses quelques longueurs, m'a offert exactement ce que j'attendais d'une romance et me laisse sur une excellente impression. Et surtout un formidable nouvel idéal masculin : Wallace Chung ! Une jolie découverte en somme.
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